La Cour a estimé qu’un Ivoirien militant de la FESCI ne pouvait, dans le contexte prévalant à la date de sa décision, justifier de craintes fondées de persécution au seul motif de son appartenance à la fédération étudiante soutenant l’ancien régime.
L’intéressé, membre de la FESCI depuis 2003 et ayant vécu et étudié en Inde de 2007 jusqu’à son exil en 2014, n’a pas établi la visibilité de son ...